Si la personne migrante ne se plie pas volontairement à un ordre de quitter le territoire, l’État belge procède à une expulsion forcée. La personne est détenue dans un centre fermé et l’État tente d’obtenir un laissez-passer (document de voyage temporaire) auprès de l’ambassade de son pays d’origine. Une fois le laissez-passer obtenu, une place dans un avion est réservée sur un vol habituel, ou sur un vol spécial destiné exclusivement au rapatriement de migrant·e·s. Si la personne refuse son expulsion, elle sera escortée par la police dans l’avion et expulsée de force.
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