Le gouvernement utilise souvent des termes qui comportent une connotation négative ou ne rendent pas de manière juste la réalité. Par exemple, l’utilisation du terme « illégal » a un impact négatif sur la perception des personnes migrantes. À l’inverse, l’utilisation de « résident » pour désigner les personnes détenues en centre fermé déforme et euphémise la réalité. C’est pourquoi nous tentons d’utiliser une terminologie plus proche de la réalité et qui ne comporte ni connotations négatives, ni euphémismes.
Nous utilisons donc le terme “centre de détention” en plus du terme “centre fermé”, largement connu du public, car il couvre mieux le sujet.
Menu